David Bloch présente un nouvel accrochage collectif à partir du 2 Octobre 2013 à Marrakech. La gallery acceuille avec une immense fierté deux nouveaux artistes. La francaise Miss Van et le belge Arne Quinze rejoignent le line-up de la galerie.
Miss Van a commencé le graffiti à l'âge de 18 ans, lançant le mouvement féminin dans le milieu du street art. Les personnages féminins et sensuels de Miss Van ont commencé à apparaître sur les murs des centre-ville dans les années 1990, instantanément ses personnages possédaient une dimension intemporelle, comme si ses femmes avaient toujours fait partie des murs de ces rues.
Depuis ses personnages n'ont pas cessé d'évoluer, devenant moins mignon mais plus dangereusement séduisant, leurs auras sexy sont rendues complexe par leurs expressions faciales de plus en plus ambigus. Dès lors que son travail est passé de la rue à la galerie, cela lui a permis d'explorer différentes nuances de médias plus fragile, tel que le crayon ; ses personnages en sont devenus d'autant plus sensibles et subtils, avec un rendu plus délicat.
Elle expose désormais dans le monde entier, aussi bien à New York qu'à Los Angeles, qu'en Europe (France, Suisse, Allemagne, Espagne, Italie, Royaume-Uni, etc), et qu'en Asie. Elle a aussi participé à des expositions dans des centres d'art et musées comme la galerie de la ville de Schwaz en Autriche (conservateur : Karin Perrnegger), le Baltic Art Center au Royaume-Uni ou le Von der Heydt Museum, Kunsthalle à Wuppertal, Allemagne.
Elle a exposé avec certains des plus grands artistes du milieu comme Os Gemeos, Mike Giant, Banksy, Faile, Shepard Fairey, Barry McGee, Ryan McGinness, Takashi Murakami, Ed Templeton, et bien d'autres.
Comme Caleb Neelon l'a dit « L'impact d'un artiste peut réellement se mesurer lorsque son travail devient si familier qu'il est difficile de se rappeler ce que le monde était sans».
Depuis ses personnages n'ont pas cessé d'évoluer, devenant moins mignon mais plus dangereusement séduisant, leurs auras sexy sont rendues complexe par leurs expressions faciales de plus en plus ambigus. Dès lors que son travail est passé de la rue à la galerie, cela lui a permis d'explorer différentes nuances de médias plus fragile, tel que le crayon ; ses personnages en sont devenus d'autant plus sensibles et subtils, avec un rendu plus délicat.
Elle expose désormais dans le monde entier, aussi bien à New York qu'à Los Angeles, qu'en Europe (France, Suisse, Allemagne, Espagne, Italie, Royaume-Uni, etc), et qu'en Asie. Elle a aussi participé à des expositions dans des centres d'art et musées comme la galerie de la ville de Schwaz en Autriche (conservateur : Karin Perrnegger), le Baltic Art Center au Royaume-Uni ou le Von der Heydt Museum, Kunsthalle à Wuppertal, Allemagne.
Elle a exposé avec certains des plus grands artistes du milieu comme Os Gemeos, Mike Giant, Banksy, Faile, Shepard Fairey, Barry McGee, Ryan McGinness, Takashi Murakami, Ed Templeton, et bien d'autres.
Comme Caleb Neelon l'a dit « L'impact d'un artiste peut réellement se mesurer lorsque son travail devient si familier qu'il est difficile de se rappeler ce que le monde était sans».
MISS VAN PAR MISS VAN
Depuis que je suis jeune, je dessine des personnages et des animaux. Au début des années 1990, j'ai commencé à découvrir le graffiti avec mes amis, je taguais un peu, prenais des photos...
Mais ensuite, petit à petit, j'ai voulu en faire partie. Les personnages sont alors venus naturellement. J'ai choisi d'utiliser la peinture acrylique parce que c'est ce que j'utilisais pour mes études, et je me sentais plus à l'aise avec la peinture qu'avec des bombes aérosols, même si ça ne rentrait pas vraiment dans le style graffiti. Ensuite, j'ai continué à peindre. Je n'ai pas vraiment choisi, ça m'est venu naturellement. L'acte de peindre sur les murs était pour moi un moyen de montrer que je boycottais le monde conventionnel de l'art.
À mes débuts, j'avais un esprit rebelle. Je trouve aussi que c'est plus excitant de peindre dans les rues, car il faut braver des interdits. Peindre sur les murs m'a permis de rester libre ; et comme c'est illégal, il n'y a pas de censure. C'est aussi un défi, car chaque fois que l'on peint sur un mur, il y a toujours le risque de voir son travail effacé.
Comme j'aime bouger et rencontrer des gens, je préfère peindre dans la rue. L'art de rue me permet de rendre mon art accessible à un plus large public.
Au début, mes poupées étaient des autoportraits. Le graffiti a un côté très mégalomane, au lieu d'écrire mon nom, j'ai choisi de me représenter dans mes poupées. Je ressentais le besoin de m'affirmer, peut être à cause du fait que j'ai une sœur jumelle, et donc que je voulais me différencier.
Quelques années après, une fois que je ne ressentais plus ce besoin d'affirmer mon identité, mon travail tel qu'il est aujourd'hui est né. L'idée d'une certaine provocation a aussi une place importante dans mon travail. J'ai toujours aimé peindre des poupées sexy dans des endroits inappropriés. Je veux provoquer des réactions intenses.
Mes poupées véhiculent une image provocatrice, parfois un peu érotique. Je veux qu'elles perturbent et provoquent des fantasmes. Je tiens à faire réagir le spectateur, peu importe sa réaction. Je voudrais faire oublier aux personnes leur routine quotidienne.
Depuis que je suis jeune, je dessine des personnages et des animaux. Au début des années 1990, j'ai commencé à découvrir le graffiti avec mes amis, je taguais un peu, prenais des photos...
Mais ensuite, petit à petit, j'ai voulu en faire partie. Les personnages sont alors venus naturellement. J'ai choisi d'utiliser la peinture acrylique parce que c'est ce que j'utilisais pour mes études, et je me sentais plus à l'aise avec la peinture qu'avec des bombes aérosols, même si ça ne rentrait pas vraiment dans le style graffiti. Ensuite, j'ai continué à peindre. Je n'ai pas vraiment choisi, ça m'est venu naturellement. L'acte de peindre sur les murs était pour moi un moyen de montrer que je boycottais le monde conventionnel de l'art.
À mes débuts, j'avais un esprit rebelle. Je trouve aussi que c'est plus excitant de peindre dans les rues, car il faut braver des interdits. Peindre sur les murs m'a permis de rester libre ; et comme c'est illégal, il n'y a pas de censure. C'est aussi un défi, car chaque fois que l'on peint sur un mur, il y a toujours le risque de voir son travail effacé.
Comme j'aime bouger et rencontrer des gens, je préfère peindre dans la rue. L'art de rue me permet de rendre mon art accessible à un plus large public.
Au début, mes poupées étaient des autoportraits. Le graffiti a un côté très mégalomane, au lieu d'écrire mon nom, j'ai choisi de me représenter dans mes poupées. Je ressentais le besoin de m'affirmer, peut être à cause du fait que j'ai une sœur jumelle, et donc que je voulais me différencier.
Quelques années après, une fois que je ne ressentais plus ce besoin d'affirmer mon identité, mon travail tel qu'il est aujourd'hui est né. L'idée d'une certaine provocation a aussi une place importante dans mon travail. J'ai toujours aimé peindre des poupées sexy dans des endroits inappropriés. Je veux provoquer des réactions intenses.
Mes poupées véhiculent une image provocatrice, parfois un peu érotique. Je veux qu'elles perturbent et provoquent des fantasmes. Je tiens à faire réagir le spectateur, peu importe sa réaction. Je voudrais faire oublier aux personnes leur routine quotidienne.
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Arne Quinze est né en 1971 en Belgique, il vit et travaille à Saint -Martens- Latem, Belgique.
Arne Quinze est né en 1971 en Belgique, il vit et travaille à Saint -Martens- Latem, Belgique.
Dans les années 80, il commence son éducation artistique en tant que graffeur, il n'a pas suivit un cursus d'enseignement officiel dans l'art. Arne Quinze crée de grandes et petites sculptures, mais aussi des dessins, des peintures et des installations à grande échelle.
Les oeuvres plus petites telles que ses esquisses et dessins sont la base de ses recherches pour ses grandes installations. Les lignes directrices de son travail sont tout d'abord le travail de différents types de bois, y compris du bois récupéré, l'utilisation de couleurs électriques à travers des peintures fluorescentes, mais avant tout et surtout le travail autour de la communication et de l'interaction sociale au travers de l'urbanisme.
Depuis quelques temps, il a commencé des recherches sur de grandes installations en acier. Arne Quinze réalise son travail autour de l'idée qu'un jour une société idéale pourrait exister où chaque individu interagiraient et communiqueraient, dans le but de rassembler chaque personne afin de participer à un intense dialogue.
Dans sa vision urbaine , les activités communautaires et la cohésion sociale seraient la norme. Ses installations sont conçues pour provoquer une réaction chez le passant et intervenir dans sa routine quotidienne en le confrontant à ses sculptures.
Ses installations publiques non conventionnelles ont remis en question les perceptions des centres-villes de Belgique (Cityscape, The Sequence), d'Allemagne (The Traveller), de la France (Camille, Rock Strangers), du Liban (The Visitor), de la Chine (Red Beacon) et des États-Unis (Uchronia, Timegate), entre autres.
Dans chaque pays où Arne Quinze expose, il révèle un processus physique en dessinant son œuvre provenant d'un optimisme à toute épreuve qui lui est propre.
Chaque nouvelle génération créative lui permet d'approfondir sa recherche et son étude sur l'interaction et le mouvement urbain exprimant l'évolution continue de l'être humain et de son environnement.
Outre la construction de sculptures architecturales, il crée des œuvres d'art complexes et des installations vidéo inscrivant sa vision dans la société de la façon dont les gens eux-mêmes et la société se voient. Ses œuvres telles que Bidonvilles , Stilthouses , Chaos et My Home My House My Stilthouse M Safe Garden ont fait partie de nombreuses expositions à travers le monde.
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MARRAKECH
8 bis rue des Vieux Marrakchis 40000 MARRAKECH MAROC
Tél.: +212 5 24 45 75 95
contact@davidblochgallery.com
Lundi : 15H30 > 19H30 Mardi-Samedi : 10H30 > 13H30 // 15H30 > 19H30
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CASABLANCA
9 rue El Kaissi – Triangle d’Or – 20100 CASABLANCA MAROC
Tél. : +212 5 22 94 96 49
contact@davidblochgallery.com
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Lundi : 14H30 > 19H30 // Mardi-Samedi : 10H > 12H30 – 14H30 > 19H30