Performance FLIPPER LA BICHE
" Une biche qui se prend pour un cétacé, veut vivre dans l' océan, elle a envie d’ailleurs, de découvrir le grand large et assouvir sa curiosité."
Suivez le périple en direct depuis la page Gilbert Coqalane en auto stop de Coqalane et d'une biche de Paris à Amsterdam via Nancy (885 km).
Accompagné par Rodrigue Rouyer, vidéaste et écrivain.
De l'auto stop en passant par Reims, Nancy, Metz, Thionville, Luxembourg, Arlon, Namur, Liège, Bruxelles, Anvers, Bruges, Rotterdam jusqu'à la mer du nord et la libération de flipper la biche.
Un road movie poétique entre un homme et une biche.
Pour suivre la performance en temps réel du 13 mai au 17 mai : https://www.facebook.com/ GilbertCoqalane
Invitez vos amis, c'est gratuit et à domicile en invitant depuis cet événement ou en partageant la page Gilbert Coqalane.
Flipper la biche prendra la forme d’une sculpture en aluminium ménager en taille réelle intitulé Bestialu n° 30 dans le cadre du projet artistique Bestialu de Coqalane.
Le départ aura lieu le lundi 13 mai à Paris au pied de Montmartre à 10h00
Coqalane est représenté par Collectie Galerie et Paris Tonkar magazine sont partenaires de l’événement (Collectie Galerie 17eme paris)
Matériel : Théâtre des Aperçus
" Une biche qui se prend pour un cétacé, veut vivre dans l' océan, elle a envie d’ailleurs, de découvrir le grand large et assouvir sa curiosité."
Suivez le périple en direct depuis la page Gilbert Coqalane en auto stop de Coqalane et d'une biche de Paris à Amsterdam via Nancy (885 km).
Accompagné par Rodrigue Rouyer, vidéaste et écrivain.
De l'auto stop en passant par Reims, Nancy, Metz, Thionville, Luxembourg, Arlon, Namur, Liège, Bruxelles, Anvers, Bruges, Rotterdam jusqu'à la mer du nord et la libération de flipper la biche.
Un road movie poétique entre un homme et une biche.
Pour suivre la performance en temps réel du 13 mai au 17 mai : https://www.facebook.com/
Invitez vos amis, c'est gratuit et à domicile en invitant depuis cet événement ou en partageant la page Gilbert Coqalane.
Flipper la biche prendra la forme d’une sculpture en aluminium ménager en taille réelle intitulé Bestialu n° 30 dans le cadre du projet artistique Bestialu de Coqalane.
Le départ aura lieu le lundi 13 mai à Paris au pied de Montmartre à 10h00
Coqalane est représenté par Collectie Galerie et Paris Tonkar magazine sont partenaires de l’événement (Collectie Galerie 17eme paris)
Matériel : Théâtre des Aperçus
« Flipper la Biche »
Il était une fois, une biche grandissant dans une forêt mosellane.
Une forêt normale et une biche commune pour tout homme les observant depuis son automobile, loin du destin de Flipper la biche.
Une biche un peu folle, toujours à l’écart du troupeau depuis qu’elle est faon.
On l’appelait Flipper comme le dauphin.
Maladroite, il était difficile pour elle de se nourrir seule dans la nature malgré son âge.
Elle courait très vite à travers les bois en criant qu’elle était un cétacé.
Elle ne mangeait pas grand-chose et n’aimait pas les glands.
Elle appelait les chasseurs les captains igloo.
Son surnom était donné par sa famille dû à sa passion pour un livre sur Flipper le dauphin, oublié par un enfant sur un chemin.
Ce livre fut un choc, elle en tira la conclusion suivante : elle était un dauphin.
Aujourd'hui elle décide de partir, de prendre son destin en main, elle part de cette foret… elle veut voir la mer, la vivre, manger des sardines.
Elle rêve d’ailleurs.
Elle est ailleurs.
Elle part pour la mer du nord.
Il était une fois, une biche grandissant dans une forêt mosellane.
Une forêt normale et une biche commune pour tout homme les observant depuis son automobile, loin du destin de Flipper la biche.
Une biche un peu folle, toujours à l’écart du troupeau depuis qu’elle est faon.
On l’appelait Flipper comme le dauphin.
Maladroite, il était difficile pour elle de se nourrir seule dans la nature malgré son âge.
Elle courait très vite à travers les bois en criant qu’elle était un cétacé.
Elle ne mangeait pas grand-chose et n’aimait pas les glands.
Elle appelait les chasseurs les captains igloo.
Son surnom était donné par sa famille dû à sa passion pour un livre sur Flipper le dauphin, oublié par un enfant sur un chemin.
Ce livre fut un choc, elle en tira la conclusion suivante : elle était un dauphin.
Aujourd'hui elle décide de partir, de prendre son destin en main, elle part de cette foret… elle veut voir la mer, la vivre, manger des sardines.
Elle rêve d’ailleurs.
Elle est ailleurs.
Elle part pour la mer du nord.
- Projets « Bestiaire et Openfield »-
Ces projets « Bestiaire » et « Openfield » , en complément du projet « Bestialus » et des actions urbaines, s’intègrent dans la démarche artistique et l’esprit de l’artiste Coqalane.
La volonté est de rendre « intramuros » les œuvres, accessibles à chacun soit par le biais de déclinaisons des performances et installations « Street art », soit par le biais de créations uniques.
Ces œuvres empreintes d’humour font régulièrement écho à la littérature animalière et à la personnification.
Celles-ci peuvent être plastiques, sonores ou visuelles, utilisant régulièrement des médiums tel la taxidermie, le détournement d’objets non académiques (récupération déchets) et la sculpture.
Les œuvres « Bestiaires » et « Openfield » peuvent être également conceptuelles sous forme d’installations adaptables aux besoins et contraintes du décideur.
Exemples :
_ « Le séchoir sans fil » Coqalane 2013
_ « Marcel Duchamp n’a jamais eu le temps de terminer » Coqalane 2012
_ « Oie et doudoune à la plume d’oie » Coqalane 2013
_ « Le faisan et la balle de golf » Coqalane 2012
Coqalane
www.certifiecoqalane.net
certifiecoqalane@aliceadsl
06.72.23.14.14